Et si le COVID avait été crée pour sauver le monde ?

Et si le COVID avait été crée pour sauver le monde ?

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On ne saura probablement jamais si le covid s’est échappé d’un laboratoire de Wuhan. On ne saura pas non plus si Bill Gates qui avait prédit un coronavirus en 2015, à l’occasion d’une conférence TED, y est pour quelque chose. Une chose est sûre, on nous cache des choses.

Je ne veux pas être catalogué complotiste, mais admettons que sur bien des aspects, ce virus “tombe plutôt bien”. Alors pourrait-il constituer une arme biologique de dépopulation ?

Entendons-nous bien, je regrette le destin tragique qui touche de nombreuses personnes depuis l’apparition du virus. Ce billet pointe simplement un certain nombre de faits intrigants.

Un virus presque parfait

Le virus atteint quasi exclusivement les vieux et les fragiles. Ceux-là même qui coutent le plus cher à la société. Les caisses de retraite et la sécurité sociale ne peuvent que mieux s’en porter ! Ce ne sont pas non plus les plus actifs dans l’économie.

Répartition des morts par age (source statistica)

Le covid se propage silencieusement, il passe les frontières. Alors qu’Ebola se déclare plus vite et qu’il est plus mortel, il est resté marginal à l’échelle mondiale. Normal : il est trop “franc”. Cette caractéristique du covid démultiplie les conséquences du virus et en fait un phénomène planétaire.

De plus, il mute rapidement ce qui le rend imprévisible, préoccupant et sournois. Aussi, un vaccin devient potentiellement inefficace sur la prochaine mutation…

Enfin, il occupe les services de Réanimation, on ne peut pas juste laisser mourir comme pour la grippe. En dépit d’une mortalité très faible de 3.9 millions de morts au 20 Juin 2021 en comptant large, le virus a des impacts démultipliés par ses conséquences sur la saturation des lits de réanimation.

En résumé, il est finalement peu dangereux mais a des conséquences gigantesques. Il réduit les populations fragiles et peu productives avec un effet plus important là ou la population est dense.

Réduction des émissions de CO2

D’un point de vue impact environnemental, le COVID est une excellente affaire. Ainsi, les mesures de confinement ont permis en 2020 une baisse de 7% des émissions de CO2. Aucune mesure n’a jamais été aussi efficace.

Il a durablement affecté les secteurs les plus polluants : aviation, tourisme de masse. En outre, il provoque des pénuries sur les semi-conducteurs avec les impacts sur l’automobile que l’on connait, sur les matières premières liées à la construction qui est un autre poste important d’émission de GES.

La mise en place des confinement a permis le développement du télétravail avec un impact sur le déplacement de populations et l’usage des véhicules. Celà développe les circuits courts qui sont une composante essentielle à une transition écologique.

La covid a enfin planté le pétrole. Le prix est passé en territoire négatif en début de crise, nombre de puits ont été fermé définitivement faute de rentabilité. Les investisseurs seront peut être découragé ne voyant pas de reprise franche ? Cela va peut être augmenter le prix de tout de manière radicale et accélérer une transition écologique. Des pénuries vont s’installer durablement. Cela va-t-il ralentir la folie humaine auto-destructrice ?

Un vaccin loin d’être anodin

On le sait, l’un des principaux problèmes de notre monde est la surpopulation. Cela engendrera des problèmes d’accès aux ressources et des pollutions importantes dans tous les domaines (CO2, méthane, matériaux… )
La maladie en elle-même associées aux vaccins ARN pourraient-il constituer un début de réponse au trop grand nombre d’individus sur terre ?

Selon une étude publiée sur le journal Journal of Medical Virology. On peut lire la conclusion suivante :

“As a result, SARS-CoV-2 may cause male reproductive disorders by regulating the level of autophagy in male germ cells,” .

Seymen

Autrement dit, il apparaît un effet du covid sur la fertilité masculine.

Un faisceau d’indice laisse également penser que les vaccin à ARN messager tel celui de Pfizer impacte les interactions de la molécule SPIKE ACE2. C’est une clé présente partout mais particulièrement dans les ovaires et les testicules.

On commence également à entendre des voix comme celle du Pr Bridle :

“Nous avons fait une erreur” + “La protéine Spike est elle-même toxique et dangereuse pour l’homme”

Ma compréhension est que les nanoparticules apportées par les vaccins ARNm tel Pfizer, ne sont pas confinées au lieu d’injection tel que le prétend le fabriquant. Elles sont transportées dans tous le corps et provoquent la production de protéines spike partout et en concentration bien plus élevée que prévu. Cela provoque coagulation, caillots, problèmes neurologiques… C’est ce qui explique tous les effets secondaires graves que l’on a pu observer suite au vaccin et qui ne sont que rarement rattaché à l’acte de vaccination.

Ces protéines agiraient elles-mêmes comme du poison tout comme le fait le vrai virus. On ne peut pas connaitre les effets délétères d’un vaccin massivement distribué avec si peu de recul. Je ne serai pas surpris lorsqu’on trouvera un effet sur le fertilité et une surmortalité inexpliquée sur la population vaccinée.

Enfin la vaccination obligatoire va avoir un effet sur le PIB : même si 10% de la population ne se vaccine pas, c’est autant de personne en moins qui ne pourrons aller au cinéma, manger au restaurant ou prendre le bus. (Je viens vraiment d’écrire cette phrase ??)

Qui ?

A qui peut bien profiter toute cette histoire ? Qui a commandé ce virus ?

A big pharma en premier lieu : les auteurs de vaccins sont des gagnants évidents.

Amazon ?

La chine ?

Les gouvernements : pensez donc, avez vous vu un gilet jaune dans la rue depuis 2 ans ? Le covid est indéniablement un outil efficace de contrôle des foules. Plus probablement un outil pour faire passer les mesures nécessaire à remplir leurs objectifs de réduction des GES.

Des gens intelligents qui ont compris qu’une action d’envergure majeure avec un impact cumulé sur la surpopulation et notre économie auto-destructrice était nécessaire à la survie de l’humanité. A bien y réfléchir, ces gens là ne seraient-ils pas alors des héros ? Si le COVID a été crée pour protéger nos enfants alors sûrement lui devons-nous une forme de reconnaissance ! Et si le présent et ce qui nous arrive étais la meilleure réponse au futur cataclysmique ?

Je pense que cette dernière hypothèse appuyée par quelque intérêt de dirigeants de multinationales est plausible. Le plan aurait été préparé dans l’ombre par le club fermé et très secret des vrais dirigeants de ce monde.

Conclusion

Tout cela est évidemment invérifiable. L’impact sur la mortalité directe est limité à 4M de morts dans le monde. Notez au passage que ce chiffre est presque ridicule face aux morts liés à la pollution de l’air estimé à 8,7M rien qu’en 2018 par une équipe de harvard. Les conséquences de la vaccination massive sur une base d’ARNm pourraient avoir un impact beaucoup plus inquiétant sur le long terme !

En plus d’une surmortalité mesurée à 9% en 2020 par rapport à 2019 ou 2018, la trajectoire serait durablement modifiée. Ainsi, imaginons que le vaccin réduise la natalité de 5%, augmente les cancer, tromboses et AVC de 5% … quelle belle affaire pour l’environnement ! En plus, les vaccins ARN sont surtout disponibles dans les pays riches et dont la population possède un bilan carbone bien pire que dans les pays dit “pauvre”.

Comme d’habitude, voyons le coté positif : nous n’avons guère d’autre choix si ce n’est vivre en Hermite que de se faire vacciner. Le covid va par ailleurs accélérer une crise économique qui en dépit d’impacts majeurs sur les plus pauvres sera peut être salutaire pour la planète : moins d’activité = moins de pétrole = décroissance.

A titre plus personnel, le confinement et l’avènement du télétravail massif permet de profiter davantage de ses proches, de prendre un peu plus le temps pour se préparer au futur peu ragoutant.

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